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Home » Vie chère, accès à l’eau et à l’énergie  : Le Senat appelle à des actions concrètes du gouvernement
Economie

Vie chère, accès à l’eau et à l’énergie  : Le Senat appelle à des actions concrètes du gouvernement

(Leconomie.info) - Marcel Niat Niat Njifenji s’est exprimé à l’ouverture de la session en cours, consacrée prioritairement au débat d'orientation budgétaire.
Jean Daniel ObamaBy Jean Daniel Obama13 juin 2025Updated:13 juin 2025Aucun commentaire4 Mins Read
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Mardi 10 juin 2025 lors de l’ouverture de la session parlementaire de juin consacrée prioritairement au débat d’orientation budgétaire (DOB), Marcel Niat Njifenji, président du Sénat n’y est pas allé de main morte. Il a appelé les élus et le gouvernement à œuvrer davantage à l’amélioration des conditions de vie des populations. Il a nommément désigné plusieurs secteurs qui peinent encore à satisfaire les besoins des populations, malgré les efforts déployés par le gouvernement du Cameroun. Marcel Niat Njifenji souhaite qu’en 2026, les décisions budgétaires, financières et structurelles susceptibles de renforcer la résilience de l’économie camerounaise soient plus efficace face aux multiples crises qui menacent le pays.

« Sans que cette évocation soit exhaustive, ces préoccupations concernent aussi un besoin accru en infrastructures de toutes sortes, l’amélioration de la couverture sanitaire ainsi que celle du système éducatif et de la formation professionnelle, sans perdre de vue la lutte contre la vie chère, l’accès généralisé à l’eau potable et une meilleure offre qualitative et quantitative en énergie » a indiqué le président du sénat. Le gouvernement a pris des mesures pour lutter contre la vie chère, notamment des exonérations de taxes et droits de douane à l’importation, et un système d’achat groupé. Cependant, ces mesures sont considérées comme insuffisantes par certains, notamment en raison de l’augmentation des prix alimentaires.

Depuis le début de la guerre qui oppose la Russie à l’Ukraine, les coûts des produits de première nécessité connaissent une augmentation consécutive ayant entrainé une dérégulation des chaînes d’approvisionnement des marchés mondiaux et la résurgence des tensions inflationnistes affectant le monde entier. En 2024, l’inflation a augmenté de 14% pour les denrées alimentaires qui concernent directement le grand nombre de citoyens.

Seulement 29% des ménages ont accès à l’eau potable

Les deux principales grandes métropoles du pays que Yaoundé et Douala sont particulièrement impactées par la régularité des pénuries d’eau potable et les besoins quotidiens en eau potable ne sont pas pleinement couverts. La crise de l’eau potable au Cameroun n’est pas uniforme : elle varie considérablement d’une région à l’autre. Dans les zones urbaines, les habitants font face à des pénuries récurrentes dues à la vétusté des réseaux de distribution et à une urbanisation rapide qui dépasse les capacités d’approvisionnement.

Une enquête nationale réalisée en 2021 par l’Institut national de la statistique (INS) révèle que seulement 29% des ménages camerounais bénéficient d’un accès au réseau public de distribution d’eau. La Cameroon Water Utilities (Camwater), société publique chargée de la production et distribution d’eau potable, reconnaît quant à elle perdre 53% de sa production en raison de fuites et de branchements non autorisés.

Dans le secteur énergétique, le Cameroun connaît un déficit notable qui affecte la population et les entreprises. Ce déficit est dû à plusieurs facteurs, notamment le faible investissement dans le secteur électrique, une offre énergétique insuffisante pour répondre à la demande croissante, et des difficultés dans la gestion du réseau de transport.

D’après les experts, il y a une perte de 40% d’énergie électrique au Cameroun entre la production du barrage de Song-Loulou et le consommateur final. Cela s’explique principalement par la vétusté des équipements de transport. En septembre 2024, le Cameroun avait fait face à une grave crise énergétique.

Au Cameroun, le budget alloué au secteur de l’éducation représente environ 3,3% du produit intérieur brut (PIB) contre 4 à 6% comme demandent les standards internationaux. Cette situation affecte directement l’accès et la qualité de l’enseignement dans le pays, en particulier pour les enfants les plus pauvres et les filles. La situation perdure, malgré les mesures comme l’attribution d’une part de la contribution des communes au développement du système éducatif et le recours à des financements internationaux pour pallier ce déficit. Le gouvernement doit encore se pencher sur la question de l’éducation.

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