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Home » Industrie portuaire et maritime : La main d’œuvre qualifiée fait défaut
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Industrie portuaire et maritime : La main d’œuvre qualifiée fait défaut

Julie Bilo’oBy Julie Bilo’o15 novembre 2024Updated:15 novembre 2024Aucun commentaire3 Mins Read
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La dernière session ordinaire de l’année législative 2024 est actuellement en cours à l’Assemblée nationale. Les travaux y relatifs ont débuté depuis le 12 novembre dernier.  Dans le cadre du Forum national sur les enjeux de la formation professionnelle organisé par la Chambre basse du parlement, Cyrus Ngo’o, Directeur général du Port autonome de Douala, a été invité à partager sa vision sur la formation professionnelle, devant les parlementaires.

Tenu le 13 novembre 2024, le Forum était organisé par le ministère de l’Emploi et de la formation professionnelle (Minefop) et la Commission de la Jeunesse, de l’éducation et de la formation professionnelle de l’Assemblée nationale. Prenant la parole, « Il a entretenu l’important auditoire, essentiellement constitué de membres de l’Assemblée nationale et du Gouvernement, sur l’importance stratégique du secteur maritime et portuaire, ainsi que les pistes possibles et porteuses d’amélioration pour les programmes nationaux de formation ». Au cours de sa prise de parole, le directeur général du PAD s’est appesanti sur la nécessité d’adapter les parcours de formation aux exigences du marché de l’emploi. « L’adéquation formation-emploi est cruciale pour notre économie, notamment dans le secteur maritime où le potentiel est immense », a indiqué Cyrus Ngo’o.

Les leviers à activer

Pour atteindre ces objectifs, il y a des leviers précis qu’il faut activer. Face aux députés et autres membres du gouvernement, le DG PAD suggéré qu’un accent particulier soit mis sur la cartographie des métiers dans tous les secteurs ; de les utiliser comme référence pour les programmes de formation ; de promouvoir des formations orientées vers l’entrepreneuriat ; de développer un programme dédié aux métiers maritimes et portuaires. Dans son exposé, il a fait une cartographie des métiers portuaires et présenté les opportunités possibles dans le secteur maritime et portuaire, avec pour repère, une étude de l’Institut national de la Statistique (INS) de 2022, mettant en exergue l’impact économique du Port de Douala-Bonabéri sur l’économie locale (ville de Douala) et nationale.

 il a fait savoir  que les activités du Port Autonome  de Douala-Bonabéri ainsi que le vaste programme de normalisation des services, de rénovation, de modernisation et de développement des infrastructures et superstructures, ont contribué à la création de plus de 172 000 emplois , dont plus 15 000 emplois directs et près de 150 000 emplois indirects.

Soutien à la formation professionnelle

Dans sa politique managériale depuis 2017, « le PAD exige des entreprises contractantes dans le cadre de la réalisation des projets de la transformation structurelle en cours, qu’elles engagent les étudiants des grandes écoles et/ou des centres de formation professionnelle ».

Dans le détail, « une centaine de jeunes a déjà bénéficié depuis lors, de cette politique en faveur de l’employabilité des jeunes ». Pour l’année 2024 en cours, 700 stages académiques et professionnels ont été accordés par le Port autonome de Douala. En 2020 par exemple, le PAD et le Centre de formation professionnelle d’excellence (Cfpe), ont signé une convention. Laquelle s’inscrivait dans le cadre du renforcement des capacités professionnelles des jeunes apprenants de ce centre. L’objectif visé était de permettre à ces jeunes d’avoir la matière nécessaire devant faciliter leur insertion socioprofessionnelle.

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