Close Menu
L'Economie – Actualité économique, Cemac, Afrique
  • Finance
  • ECONOMIE
    • Economie
    • Economie verte
    • Eco Afrique
    • Infrastructures
  • Décideurs
    • Décideurs
    • Opinions
    • Interview
  • CEMAC
  • Politiques publiques
Facebook X (Twitter) YouTube LinkedIn WhatsApp
Actualité en continu
  • Qui est Louise De Maerteleire-Ngo Mboui, présidente du comité scientifique de L’Economie Business Summit ?
  • La start-up nigériane Winich Farms obtient un investissement DisrupTech Ventures
  • Serge Mathieu Kombou : « L’expérience européenne a montré que le repli géographique peut nuire à la crédibilité d’une agence de notation financière »
  • Échanges commerciaux : Comment les USA veulent resserrer les liens avec l’Afrique
  • France, Pays-Bas, Chine, Île Maurice : Des investisseurs s’intéressent à la reconstruction de la Sonara
  • Yvon Sana Bangui : « Les réserves de change restent le pilier de souveraineté de nos économies »
  • Gabon : Xavier Jaffret nommé Directeur Général Sobraga, filiale locale du groupe Castel
  • Zones industrielles : Une cinquantaine d’entreprises menacées d’expulsion par la Magzi
Facebook X (Twitter) YouTube LinkedIn WhatsApp
L'Economie – Actualité économique, Cemac, Afrique
  • Economie
    • Agriculture
    • Economie verte
    • Eco Afrique
  • Finance
    • Banque & Assurances
    • Bourse & Marché
  • CEMAC
  • Infrastructures
  • Décideurs
    • Opinions
    • Décideurs
  • Interview
  • Evènements
    • L’ECONOMIE BUSINESS AWARDS
    • L’ECONOMIE BUSINESS SUMMIT
S'abonner
Se connecter
Magazine
Facebook X (Twitter) YouTube LinkedIn WhatsApp
Se connecter
L'Economie – Actualité économique, Cemac, Afrique
Home » Cemac : La BVMAC veut mettre sur pied le système de fractionnement des titres cotés pour accroître son portefeuille d’investisseurs
Bourse & Marché

Cemac : La BVMAC veut mettre sur pied le système de fractionnement des titres cotés pour accroître son portefeuille d’investisseurs

(Leconomie.info) - Ce nouveau mécanisme devra permettre à des investisseurs d'une capacité financière plus modeste d'acheter des parts de titres à prix adaptés, facilitant ainsi leur entrée sur le marché financier.
François Gaël MbalaBy François Gaël Mbala4 mai 2025Updated:4 mai 2025Aucun commentaire3 Mins Read
Share Facebook Twitter Pinterest Telegram LinkedIn Tumblr Email Copy Link
Follow Us
Google News Flipboard
Share
Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Copy Link

Dans le cadre de la mise en route de son projet relatif au fractionnement des titres cotés et en anticipation à la cotation en continue des valeurs, la place boursière régionale basée à Douala vient de lancer un Appel d’offres de consultation pour le recrutement d’un partenaire pouvant accompagner le marché financier dans la mise en place des plateformes pour la migration technologique avec le fractionnement.

En effet, en l’absence d’une solution automatisée, la Bvmac encourrait un risque opérationnel majeur qui se traduisait par des lenteurs de traitement des ordres reçus, des erreurs de saisie, des retards de transmission des ordres, et une perte de confiance des intervenants du marché. Pour changer de paradigme, ou encore démocratiser cet univers parfois jugé intimidant, la Bourse mise sur le fractionnement des titres cotés.

« Le projet de fractionnement tient compte du fait que nous sommes assez lucides par rapport au niveau de vie. Nous sommes dans des pays en développement et au niveau de la Cemac, nous avons des économies fragiles. On se dit aujourd’hui, à la BVMAC, il y a des titres qui sont côtés à 200 000 FCFA. Les moins chers sont cotés à 21 000 FCFA. Les autres sont à 40000 FCFA, 50000 FCFA… Si nous restons aussi élitistes, nous nous adresserons à très peu de personne », a expliqué Louis Banga Ntolo, Directeur général de la Bvmac, lors d’une émission sur les antennes de la chaine de télévision privée camerounaise, Canal2 International.

Selon l’appel d’offres consulté par L’Economie, « le fractionnement devrait entraîner une multiplication massive du nombre d’ordres reçus aux guichets des Sociétés de bourse, rendant les processus manuels complètement obsolètes et considérablement risqués ».

La Bourse des Valeurs mobilières d’Afrique centrale (Bvmac), jusqu’ici perçue comme un instrument réservé à une élite institutionnelle, veut en effet tomber les barrières et rendre le marché plus accessible à un plus grand nombre de participants. A en croire Louis Banga Ntolo, la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) compte à date, moins de 10000 comptes titres. Cette donnée, bien qu’insignifiante au regard du potentiel du marché, permet à la bourse de gérer 1500 milliards de FCFA d’encours de dette, détenus majoritairement par une cinquantaine d’acteurs institutionnels. « La bourse est restée sur très peu d’investisseurs. Ce n’est pas un phénomène populaire. La bourse devrait être l’opium du peuple. Pour ce faire, nous devons agir, là où nous avons les pouvoirs. Et nous pensons que nous avons le pouvoir de pouvoir faire du fractionnement. Ça veut dire que même si la valeur mathématique de votre entreprise est de 100 000 ou 200 000 FCFA, il faut que l’achat puisse commencer à 1000 FCFA. Et que l’action que j’achète à 1000 FCFA, qui est issue du fractionnement de la valeur normale de l’action, garde l’entièreté des droits qui lui sont reconnus par l’acte uniforme OHADA », a détaillé le Directeur général de la Bvmac.

En abolissant les barrières à l’entrée, la BVMAC va ainsi ouvrir la porte à une nouvelle dynamique d’investissement. Ce mécanisme devrait en principe, favoriser l’émergence d’une culture d’investissement dans le marché sous-régional, encourager la diversification et une meilleure répartition de la richesse.

Partager
Bvmac CEMAC
Follow on Google News Follow on Flipboard
Share. Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Email Copy Link
Previous ArticleDacin Bika rejoint le groupe L’Archer en tant que Directeur Financier et Comptable
Next Article La zone Cemac compte 54 banques en activité et un taux de bancarisation strict de 14% à fin 2023
François Gaël Mbala
  • Website

Related Posts

Serge Mathieu Kombou : « L’expérience européenne a montré que le repli géographique peut nuire à la crédibilité d’une agence de notation financière »

20 juin 2025

France, Pays-Bas, Chine, Île Maurice : Des investisseurs s’intéressent à la reconstruction de la Sonara

20 juin 2025

Yvon Sana Bangui : « Les réserves de change restent le pilier de souveraineté de nos économies »

20 juin 2025
Add A Comment
Leave A Reply Cancel Reply

Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.

Plus d'actualités

Qui est Louise De Maerteleire-Ngo Mboui, présidente du comité scientifique de L’Economie Business Summit ?

La start-up nigériane Winich Farms obtient un investissement DisrupTech Ventures

Serge Mathieu Kombou : « L’expérience européenne a montré que le repli géographique peut nuire à la crédibilité d’une agence de notation financière »

Échanges commerciaux : Comment les USA veulent resserrer les liens avec l’Afrique

Votre Magazine à la Une
Facebook X (Twitter) WhatsApp LinkedIn

La rédaction

  • Qui sommes-nous?
  • Nous rejoindre
  • Notre équipe

Abonnement

  • S'abonner
  • Nos offres
  • Newsletters
  • Articles Premium

Evènementiel

  • L'Economie Business Awards
  • L'Economie Business Summit

Abonnez vous et rester informés

Recevez l'actualités en continu en vous abonnant à notre newsletter !

© 2025 L’ECONOMIE MEDIA GROUP Sarl |. Build by Include Technologie.
  • Politique de confidentialité
  • Conditions générales
  • Nous contacter

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

Fanny Esther Salandre

Assistante de Direction

L'ECONOMIE

Bien le bonjour cher /chère Lecteur(rice)

Click to send