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Home » Mokom Ndi Ndzah : « Un placement de 500 000 FCFA dans des obligations ou des fonds peut générer des rendements impressionnants sur plusieurs années »
Interview

Mokom Ndi Ndzah : « Un placement de 500 000 FCFA dans des obligations ou des fonds peut générer des rendements impressionnants sur plusieurs années »

(Leconomie.info) - Le Directeur Général de Stoneshed Asset Management joue un rôle clé dans l’évolution des marchés financiers au sein de la Cemac. Convaincu que l’investissement structuré et l’accessibilité des marchés peuvent accélérer la croissance économique, il partage ici sa vision sur l’avenir des marchés financiers et les opportunités pour les entreprises et les investisseurs.
François Gaël MbalaBy François Gaël Mbala11 février 2025Aucun commentaire4 Mins Read
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Mokom Ndi Ndzah, DG Stonshed Asset Management
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Plusieurs personnes trouvent les marchés financiers complexes. Pouvez-vous les expliquer simplement ?

 Imaginez un grand marché, mais au lieu d’échanger des produits alimentaires, on y échange de l’argent, des parts d’entreprises et des opportunités d’investissement. Il y a deux groupes d’acteurs : Ceux qui cherchent des fonds (entreprises, gouvernements, entrepreneurs) et ceux qui veulent investir (particuliers, institutions, entreprises). Les marchés financiers relient ces deux groupes, en s’assurant que l’argent circule vers les projets qui génèrent de la valeur et de la croissance.

Pourquoi les marchés financiers sont-ils essentiels au développement économique en CEMAC ?

Un marché financier efficace est le moteur du développement. Il permet aux entreprises de lever des capitaux et de se développer, aux gouvernements de financer des infrastructures sans alourdir la fiscalité, aux citoyens de faire fructifier leur épargne au lieu de la laisser dormir. Les pays qui ont des marchés financiers solides croissent plus vite, attirent plus d’investissements et créent davantage d’emplois.

 Que doit-on améliorer dans les marchés financiers de la CEMAC ?

Le potentiel est immense, mais des améliorations sont nécessaires :

• Diversifier les produits d’investissement – Aller au-delà des obligations d’État et encourager les actions et fonds d’investissement.

• Accélérer les approbations réglementaires – Les opportunités se perdent si les délais sont trop longs.

• Renforcer l’éducation financière – Trop de personnes hésitent à investir faute de connaissances.

• Faciliter la circulation du capital entre les pays de la CEMAC – Cela attirerait de plus grands investisseurs. La Cosumaf mène un travail très engageant, qui pourrait profondément transformer le paysage financier de la région. 

 Comment les entreprises et gouvernements peuvent-ils lever des fonds efficacement ?

 Plutôt que de dépendre uniquement des banques ou des impôts, il existe des alternatives solides :

• Les obligations d’entreprise – Une entreprise peut lever des fonds en émettant des obligations achetées par des investisseurs.

• L’introduction en bourse – La vente d’actions permet de financer l’expansion à long terme.

• Les fonds d’investissement en infrastructures – Financer les routes, centrales électriques et logements grâce à des capitaux privés. Ces solutions permettent de financer des projets sans alourdir les dettes publiques.

De nombreux chefs d’entreprise laissent leur argent en banque. Quelle est une meilleure alternative ?

L’argent dormant en banque perd de la valeur avec le temps. Une solution simple et efficace est d’investir dans des fonds communs de placement, qui fonctionnent comme une tontine (Njangi) financière gérée par des experts. Avec 10 000 FCFA, une entreprise ou un particulier peut placer son capital dans des actifs rentables, diversifier son risque et obtenir des rendements supérieurs.

 Les infrastructures et l’énergie sont cruciales pour la croissance. Comment les marchés financiers peuvent-ils aider ?

Les projets comme les raffineries, les routes et les centrales solaires nécessitent un financement à long terme. Au lieu d’attendre des prêts ou des aides publiques, nous pouvons :

• Émettre des obligations d’infrastructure – Des investisseurs financent ces projets en échange d’un rendement stable.

• Créer des fonds d’investissement spécialisés – Mutualiser des capitaux permet de financer rapidement de grands projets.

• Attirer des investisseurs privés – Avec des mécanismes bien structurés, la CEMAC peut devenir un pôle d’investissement en infrastructures.

Quel est votre conseil pour quelqu’un qui veut investir intelligemment ?

Commencez tôt, investissez régulièrement. Beaucoup pensent qu’il faut être riche pour investir, mais un placement de 500 000 FCFA dans des obligations ou des fonds peut générer des rendements impressionnants sur plusieurs années. L’essentiel est de laisser son argent travailler au lieu de le laisser dormir.

Quelle est votre vision pour les marchés financiers de la Cemac ?

Je veux voir une CEMAC où les entreprises peuvent lever des capitaux facilement, où les investisseurs ont confiance et où l’investissement devient accessible à tous. Nous avons une opportunité unique de créer un marché financier dynamique, attirer des milliards d’investissements et accélérer le développement économique.

Les marchés financiers ne sont pas réservés aux grandes entreprises. Ils peuvent bénéficier à tout le monde. Nous à Stoneshed Asset Management, œuvrons pour rendre les investissements plus accessibles et plus performants. Pour ceux qui veulent bâtir leur avenir financier, c’est le moment d’agir.

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CEMAC Marché financier Mokom Ndi Ndzah Stonshed Asset Management
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