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Home » Roger Brice Kamsu : « Avant décembre 2022, les cure-dents made in Cameroon doivent commencer à être distribués sur le marché »
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Roger Brice Kamsu : « Avant décembre 2022, les cure-dents made in Cameroon doivent commencer à être distribués sur le marché »

François Gaël MbalaBy François Gaël Mbala23 mars 2022Aucun commentaire5 Mins Read
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Lancée il y a environ un an et demi, Kamcuredent se donne pour ambition de mettre sur le marché, des cure-dents 100% camerounais. Dans cet entretien avec le Quotidien l’Économie, le patron de la structure  fait le point sur les avancées de l’initiative.

Comment se porte la structure que vous dirigez ?

 Kamcuredent est une entreprise qui suit son chemin. En août 2020, nous avons lancé la levée de fonds pour la mise en place de notre usine, et à date, nous avançons comme nous le souhaitions. Nous avons déjà plus de 350 000 parts vendues avec plus de 356 000 membres inscrits sur notre plateforme, et qui nous suivent au quotidien. Aussi, nous avons déjà levé un capital de 104 millions 47 000 FCFA.

Aujourd’hui, Kamcuredent est suivi dans 42 pays à travers  le monde, plus spécifiquement en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale, ainsi que dans quelques pays occidentaux comme la France, l’Allemagne, et les États-Unis. Régulièrement, nous communiquons dans nos plateformes sociales (WhatsApp, Instagram, Facebook, mail, site web…) avec nos différents investisseurs et  répondons à leurs préoccupations lorsque le besoin se fait sentir.

Kamcuredent aujourd’hui, c’est 5 hectares de terrain acquis et une plantation en cours, dont les travaux s’achèveront dans moins d’un mois. Nous organiserons incessamment une visite de terrain avec la presse. Pour ce qui est des machines, elles sont déjà prêtes. Leur construction est terminée chez le fabricant, et n’attend que notre signal pour la réception. Globalement, Kamcuredent est dans le respect de son calendrier.

Le Covid-19 a-t-il eu un impact sur l’évolution de votre projet de fabrication des cure-dents ?

Oui, comme les autres  entreprises d’ailleurs. La pandémie est arrivée à un moment important de l’évolution du projet. Elle nous a retardés par exemple dans l’acquisition de certaines autorisations administratives. De même, nous avons eu des difficultés pour nous déplacer vers l’extérieur pour aller chercher l’expérience dans d’autres usines spécialisées dans la fabrication des cure-dents, notamment avec des mesures barrières.

Mais nous avons réussi le challenge de capitaliser ce moment. Nous avons, au lieu de la Chine, fait le déplacement du Ghana pour rencontrer un de nos partenaires qui s’est lancé dans la fabrication du cure-dents avant nous, et qui utilise les mêmes machines que celle que nous avons commandée. Il s’est agi pour nous d’aller voir la qualité de ces machines, vérifier le process… Le Covid-19 aussi, faut-il le souligner a ralenti notre collaboration avec notre fabricant. Mais je pense que les choses sont rentrées dans l’ordre et nous voyons déjà le bout du tunnel.

En avril 2021 face à la presse, vous avez indiqué que le premier prototype devrait être disponible dans un délai de 3 mois. Rien jusqu’à présent. Qu’est ce qui n’a pas marché ?

En ce qui concerne le prototype, nous avons fait exprès de ne pas le rendre public à la date donnée. Parce que lors de la conférence de presse de presse dont vous parlez, j’avais rappelé que nous sommes en train de fabriquer une petite machine de prototype, et qu’on devait être présent à Promote 2022. Je vous rassure que cette machine est toujours en cours de fabrication et son taux de réalisation est de 85 %. Simplement parce qu’elle doit intégrer des nouvelles technologies.

Mais nous espérons que d’ici à la fin de la levée de fonds qui est prévue pour le 15 septembre 2022, nous allons en ce moment, pouvoir présenter notre prototype de cure-dents, soit, attendre l’ouverture de l’usine, que nous allons  lancer le même jour, où à une date ultérieure .Mais avant la fin de l’année en cours car c’est  prévu dans notre cahier de charges. Notre  usine doit être opérationnelle avant la fin de cette année. Avant décembre, les cure-dents made in Cameroon doivent commencer à être distribués sur le marché camerounais.

Globalement, quel est le taux d’avancement de Kamcuredent ?

Le taux d’avancement de Kamcuredent aujourd’hui, nous pouvons l’estimer à plus de 65 %. Parce que voyez-vous, très peu de personnes comprennent ce qu’est la construction d’une usine. Beaucoup pense que c’est avoir des machines et commencer à produire. Que non ! Il y a un ensemble d’éléments administratifs au préalable, et nous avons totalement bouclé cette partie. La dernière en date, c’était avec l’ANOR. Sauf que cette dernière n’a pas une norme existant pour les cure-dents au Cameroun.

Nous sommes en train de travailler avec la norme française, tout en vérifiant s’il y a une norme africaine à laquelle nous pouvons souscrire. Mais l’ANOR nous a rassurés de ce que nous pouvons commencer à produire, en attendant que le gouvernement sorte une norme. Aujourd’hui, nous sommes sur la phase de construction des matières premières, qui représente entre 30 % et 40 % de notre évolution. Vous savez, une usine est pérenne lorsque sa matière première est renouvelable et contrôlée.

Que dites-vous aux investisseurs qui pourraient avoir des doutes, et aussi à la presse qui n’a plus eu de vos nouvelles depuis près d’un an ?

Je vais d’abord rassurer les investisseurs qui sont des personnes qui ont cru en moi dès le début et qui continuent de croire en moi aujourd’hui. Kamcuredent est une entreprise qui évite de faire beaucoup de bruit. Même pendant la période de levée de fonds, nous ne faisons pas beaucoup de bruits. Nos investisseurs sont régulièrement informés de ce que nous faisons. Nous invitons une certaine presse à éviter de dire ce qu’elle ne sait pas. Si la presse a des préoccupations, qu’elle se rapproche de nous afin d’avoir des informations fiables.

Propos recueillis par François Gaël Mbala

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Cameroun Cure-dents Kamcuredent Roger Brice Kamsu
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