La 3e édition de L’Économie Business Summit qui se tient à Paris le 1er juillet 2025 s’annonce comme un événement majeur pour les investisseurs, acteurs économiques désirant ou installés en Afrique centrale. Cette rencontre, placée sous le thème « Afrique centrale : marché d’opportunités, relais de croissance et d’investissements », rassemble des experts afin d’explorer les opportunités d’investissement et d’industrialisation de la sous-région. Un des moments forts sera sans doute la participation de Guillaume Feuvre, le directeur général d’ESEO, qui interviendra en tant que panéliste, à la table ronde « Focus des secteurs porteurs et niches d’investissement : où investir en Afrique Centrale ?».
Fort d’un parcours impressionnant dans les couloirs de l’automobile et de l’aéronautique, Guillaume Feuvre est depuis le 3 février 2025, aux commandes de l’École d’Ingénieurs spécialisée dans les nouvelles technologies (ESEO).
Il a débuté sa carrière comme Ingénieur Produit chez Motorola AIEG avant de rejoindre Johnson Controls en 2002, où il a gravi les échelons, passant de Program Manager à Directeur d’Usine. Ces expériences, tant en France qu’à l’international, ont forgé son savoir-faire en gestion de projets complexes, en développement stratégique et en management humain.
Son parcours l’a conduit à diriger des sites industriels d’envergure, comme celui de Mecachrome à Amboise, spécialisé dans la mécanique de haute précision pour des secteurs stratégiques tels que l’aéronautique et l’automobile.
Plus récemment, il occupait le poste de Directeur des Opérations de MSL Circuits, où il a supervisé une croissance exceptionnelle de 40 % du chiffre d’affaires et des effectifs. Sous sa direction, Guillaume Feuvre ambitionne de positionner l’ESEO comme une institution leader des écoles d’ingénierie en électronique et informatique, avec une reconnaissance internationale accrue.
Il intervient à la 3e édition de l’Economie Business Summit de Paris, à la table ronde « Focus des secteurs porteurs et niches d’investissement : où investir en Afrique Centrale ?», notamment dans l’ingénierie pour faciliter l’industrialisation locale.