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Home » Les candidats à la succession d’Akinwumi Adesina à la présidence de la Banque africaine de développement 
Banque & Assurances

Les candidats à la succession d’Akinwumi Adesina à la présidence de la Banque africaine de développement 

(Leconomie.info) - En attendant les élections prévues au mois de mai 2025, la rédaction de L’Economie dresse ici, les parcours et les profils des 5 postulants à la présidence de cette institution financière de développement multilatérale.
Hervé Fopa FogangBy Hervé Fopa Fogang6 février 2025Aucun commentaire6 Mins Read
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Akinwumi Adesina, après deux mandats successifs va définitivement quitter la présidence de la Banque Africaine de développement au mois de mai 2025. Un appel à candidatures a été lancé pour désigner son successeur. A la clôture, le 31 janvier 2025, cinq dossiers ont été enregistrés.  Notamment celui du Mauritanien, Sidi ould Tah de la Sud-africaine, Swazi Tshabalala, du Sénégalais Amadou Hott, du Zambien Samuel Munzele Maimbo et du Tchadien Mahamat Abaas Tolli.

Swazi Tshabalala, la seule femme en lice

Swazi Tshabalala est la seule femme en course avec une bonne connaissance des arcanes de la BAD qu’elle a intégrée en 2018 en tant que vice-présidente en charge des finances et responsable financière du groupe.

En novembre 2021, elle a été nommée vice-présidente principale et directrice financière de l’institution financière panafricaine, devenant ainsi la première femme à occuper ce poste stratégique.

Âgée de 58 ans, elle est titulaire d’une licence en économie de l’Université Lawrence (1989) et d’un MBA de l’Université Wake Forest (1992) aux Etats-Unis. Bajabulile Swazi Tshabalala jouit d’une longue expérience de près de 30 ans dans les domaines de la finance, de la gestion de la trésorerie, des opérations sur les marchés des capitaux et des investissements.

Amadou Hott soutenu par des hommes de poids

Amadou Hott a aussi l’avantage de connaître le groupe BAD pour y avoir exercé les fonctions de vice-président, de chargé de l’électricité, de l’énergie, de la croissance verte et du changement climatique et plus récemment en tant qu’envoyé spécial du président de la BAD, chargé de l’Alliance pour l’infrastructure verte en Afrique. Selon nos informations, il bénéficie du soutien du président sortant mais aussi le soutien d’Aliko Dangote et Tony Elumelu.

Diplômé de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne où il obtenu la Licence et la Maitrise en Science économique, option Monnaie et finance et un DEA en Finance de marché et gestion bancaire. Il est aussi titulaire d’un master en mathématiques financières de l’Université de New York.

Amadou Hott cumule une vingtaine d’années d’expérience dans des domaines variés tels que le financement structuré, la banque d’investissement, la gestion de fonds souverains, les infrastructures et développement de solutions énergétiques intégrées à New York, Londres, Dubaï et Lagos. Il a été ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération du Sénégal.

Abbas Mahamat Tolli, de la Beac à la BAD ?

Abbas Mahamat Tolli, premier candidat à avoir annoncé sa candidature en mars 2024 est seul candidat en Afrique Centrale. Il bénéficie du soutien des pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac) qui avaient annoncé en mars 2024 leur soutien à cette candidature. Il a également le soutien du président tchadien, Mahamat Idriss Déby Itno « qui a lancé une campagne tous azimuts auprès de ses pairs ».

Âgé de 52 ans, Abbas Mahamat Tolli est diplômé de l’École nationale d’administration (ENA) de Paris et de l’Université du Québec. Dans son pays, il a été directeur du Cabinet civil de la présidence, directeur des Douanes et des droits indirects, ministre des Finances et du budget, ministre des Infrastructures et équipements.

Il a été aussi gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac), président de la Banque de développement des États de l’Afrique centrale (BDEAC) et secrétaire général de la Commission bancaire de la Cemac.

Le financier zambien, Samuel Munzele Maimbo est aussi intéressé

Le Zambien Samuel Munzele Maimbo bénéficie du soutien des chefs d’État et de gouvernement du marché commun de l’Afrique orientale et australe (Comesa). Outre le choix de la région, il devrait bénéficier du soutien des pays anglo-saxons, notamment des Etats-Unis, second actionnaire de la BAD, du Royaume-Uni et de l’Irlande, mais aussi de nombreux autres pays occidentaux. Il est depuis le 1er juillet 2023, vice-président du budget, de l’examen des performances et de la planification stratégique au sein de la Banque mondiale.

Avant ce poste, il a été chef de cabinet de deux présidents de la Banque mondiale, David Malpass et Ajay Banga. Il possède près de 30 ans d’expérience dans le développement, les marchés financiers, la mobilisation des ressources et la planification stratégique dont 23 ans au sein de la Banque mondiale. Avant cela, il a été inspecteur bancaire à la Banque de Zambie et auditeur chez PricewaterhouseCoopers (PwC).

Sidi Ould Tah, un candidat aux multiples soutiens

Sidi Ould Tah, né le 31 décembre 1964 est un homme politique et économiste mauritanien. Son dossier de candidature à la présidence de la BAD a été déposé à la dernière minute. Président de la Banque Arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) depuis 10 ans, il possède une connaissance approfondie des problématiques économiques et sociales de l’Afrique. Le candidat mauritanien bénéficie de nombreux soutiens. Notamment de l’Arabie saoudite et des pays du Golfe, membres de la BAD (Émirats arabes unis et Koweït).

Il jouit également des soutiens en Afrique de l’Ouest, notamment de la Côte d’Ivoire, du Bénin et certainement d’autres pays de la région. Selon une source à L’Economie, sa candidature est parrainée par le Alassane Ouattara, président de la République de Côte d’Ivoire. Cet appui de taille « peut lui ouvrir d’autres portes au-delà du continent, notamment en Europe où il peut bénéficier des votes de la France et de l’Espagne qui ont des relations privilégiées avec la Mauritanie ».

En tant que directeur général de la Badea, Sidi ould Tah est un habitué des palais présidentiels du continent où il a su tisser des liens privilégiés avec de nombreux chefs d’État africains. Ce qui est un atout pour lui.

Afin d’augmenter les chances de son candidat, « la Mauritanie mène une diplomatie active en s’appuyant sur ses relations avec les pays africains et les membres non africains de la BAD ». L’une des volontés du candidat mauritanien est d’attirer les actionnaires du Golfe dans le capital de la BAD. L’autre atout, c’est que Sidi ould Tah, polyglotte. Il parle arabe français et anglais.

Âgé de 61 ans, est titulaire d’un doctorat en économie de l’université de Nice Sophia Antipolis (France). Il a été ministre de l’Économie et des Finances de la Mauritanie.  Il a aussi occupé les postes de chargé du marketing des investissements puis d’assistant technique du président du groupe de la banque islamique pour le développement (BID).

Dans la course à la présidence de la BAD, de nombreux éléments sont à prendre en considération. Il faut faire campagne pour avoir les voix des 54 pays africains et celles des 27 non africains actionnaires de la BAD. Il faudra surtout convaincre les 11 grands porteurs de voix que sont : le Nigeria, les États-Unis, l’Égypte, le Japon, l’Algérie, l’Afrique du Sud, le Maroc, l’Allemagne, le Canada, la France et la Côte d’Ivoire. Jusqu’à présent, « aucun candidat n’a été élu sans le soutien de ces pays » apprend-on.

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Akinwumi Adesina BAD Banque africaine de développement
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Hervé Fopa Fogang

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